Bonjour tout le monde,
je tiens à vous dire que je ne vous ai pas oublié... vous êtes toujours dans mon coeur! C'est juste que j'ai des travaux de fin de session dans les jambes, j'm'en débarasse et je suis à vous tout de suite!
À la prochaine!
Julien
08 décembre 2008
25 novembre 2008
Dernière critique musicale de 2008!
Bonjour cher lecteurs en déliiiiire!
Je ferai ça short and sweet... voici ma critique!
Une bête facile d’approche
Voici déjà ma dernière critique pour la session! J’espère que vous avez aimé me lire à chaque parution. Pendant le temps des fêtes, j’essayerai de vous faire une petite liste des albums qui seront sortis et vous en ferai part dans la première parution de la session d’hiver. Je vous souhaite donc de la bonne musique plein les oreilles pour Noël! À la prochaine! En attendant, voici ma nouvelle critique.
Plusieurs d’entre vous doivent connaître DJ CHAMPION et ses succès tels que No Heaven, The Plow et Two Hoboes. Voilà donc que la voix qui accompagne ces succès (Betty Bonifassi) a décidé de lancer un album avec un ami du groupe Plaster (Jean-Phi Goncalves). C’est ainsi qu’une voix singulière et des beats électriques se fondent pour devenir le projet Beast.
Il faut, de prime abord, aimer le style électro-dance de CHAMPION pour ensuite pouvoir «tomber» dans Beast. C’est sûr que si l’on n’aime pas la voix de la chanteuse, que j’adore, il faut oublier ça. Les beats, quant à eux, sont différents de ceux du DJ québécois, mais s’écoutent très bien et sont variés.
Le premier extrait, Mr. Hurricane, est selon moi représentatif de l’esprit de l’album. Donc si vous aimez ce que vous entendez, je vous conseille de vous le procurer. Les chants gospels pendant le refrain contribuent à l’effet d’entrain de la chanson. Goncalves fait un bon travail du côté de la musique et Bonifassi est à la hauteur de nos attentes. Un premier extrait qui promet une belle carrière au duo…
Pour ce qui est des autres chansons, étant donné que c’est un premier album, elles sont plus disparates, mais gardent une certaine cohérence sur l’album. Il y a des chansons qui nous font taper du pied, mais la plupart je les imaginerais plus dans un vrai show rock! Même si le son est électronique, la guitare et la basse me font plus penser à un groupe sur une scène qu’une piste de danse. D’ailleurs, cet album est à écouter avec un haut-parleur d’extrême-grave pour profiter pleinement du groove du groupe! Il y en a aussi qui sont un peu plus calmes, mais qui gardent toujours ce «groove».
La seule vraie critique que je pourrais faire à l’album est sa durée. Il comporte 12 pistes pour une durée de moins de 45 minutes! Ce qui est très court. J’aurais préféré attendre un peu plus pour avoir au moins 60 minutes de contenu. Mais il est vrai que si le contenu supplémentaire est de moins bonne qualité, il a été sage de ne pas étirer la sauce.
Le premier album du duo montréalais Beast est donc très prometteur. De plus, il est facilement exportable, que ce soit aux Etats-Unis ou en Europe qui sont d’ailleurs plus friands que nous de ce type de musique.
Encore une fois, passez de belles fêtes avec de la bonne musique. Si jamais vous voulez que je me penche sur un album récent ou qui va paraître bientôt, vous pouvez m’écrire.
Julien,
qui vous aime
Je ferai ça short and sweet... voici ma critique!
Une bête facile d’approche
Voici déjà ma dernière critique pour la session! J’espère que vous avez aimé me lire à chaque parution. Pendant le temps des fêtes, j’essayerai de vous faire une petite liste des albums qui seront sortis et vous en ferai part dans la première parution de la session d’hiver. Je vous souhaite donc de la bonne musique plein les oreilles pour Noël! À la prochaine! En attendant, voici ma nouvelle critique.
Plusieurs d’entre vous doivent connaître DJ CHAMPION et ses succès tels que No Heaven, The Plow et Two Hoboes. Voilà donc que la voix qui accompagne ces succès (Betty Bonifassi) a décidé de lancer un album avec un ami du groupe Plaster (Jean-Phi Goncalves). C’est ainsi qu’une voix singulière et des beats électriques se fondent pour devenir le projet Beast.
Il faut, de prime abord, aimer le style électro-dance de CHAMPION pour ensuite pouvoir «tomber» dans Beast. C’est sûr que si l’on n’aime pas la voix de la chanteuse, que j’adore, il faut oublier ça. Les beats, quant à eux, sont différents de ceux du DJ québécois, mais s’écoutent très bien et sont variés.
Le premier extrait, Mr. Hurricane, est selon moi représentatif de l’esprit de l’album. Donc si vous aimez ce que vous entendez, je vous conseille de vous le procurer. Les chants gospels pendant le refrain contribuent à l’effet d’entrain de la chanson. Goncalves fait un bon travail du côté de la musique et Bonifassi est à la hauteur de nos attentes. Un premier extrait qui promet une belle carrière au duo…
Pour ce qui est des autres chansons, étant donné que c’est un premier album, elles sont plus disparates, mais gardent une certaine cohérence sur l’album. Il y a des chansons qui nous font taper du pied, mais la plupart je les imaginerais plus dans un vrai show rock! Même si le son est électronique, la guitare et la basse me font plus penser à un groupe sur une scène qu’une piste de danse. D’ailleurs, cet album est à écouter avec un haut-parleur d’extrême-grave pour profiter pleinement du groove du groupe! Il y en a aussi qui sont un peu plus calmes, mais qui gardent toujours ce «groove».
La seule vraie critique que je pourrais faire à l’album est sa durée. Il comporte 12 pistes pour une durée de moins de 45 minutes! Ce qui est très court. J’aurais préféré attendre un peu plus pour avoir au moins 60 minutes de contenu. Mais il est vrai que si le contenu supplémentaire est de moins bonne qualité, il a été sage de ne pas étirer la sauce.
Le premier album du duo montréalais Beast est donc très prometteur. De plus, il est facilement exportable, que ce soit aux Etats-Unis ou en Europe qui sont d’ailleurs plus friands que nous de ce type de musique.
Encore une fois, passez de belles fêtes avec de la bonne musique. Si jamais vous voulez que je me penche sur un album récent ou qui va paraître bientôt, vous pouvez m’écrire.
Julien,
qui vous aime
11 novembre 2008
Critique musicale spéciale
Bonjour chers lecteurs assidus
je vous livre ma dernière critique...à ce jour! Je vous laisse la lire puisque vous êtes si impatients de me lire!
Ma critique cette semaine sera double. Elle concernera les indécis pour un album et les moins bien informés pour l’autre. Pas qu’il y a beaucoup de choses dans l’actualité musicale cette semaine, au contraire, je trouve cela morne comme le mois de novembre… Non, je vais vous parler d’albums qui sont sortis plus tôt, soit la fin d’octobre.
Pour mon premier album cette semaine, je vais vous faire part de mes impressions sur le dernier album d’AC/DC, Back in Black…euh je veux dire Black Ice. Je me suis trompé et ce n’est pas pour rien. AC/DC nous est revenu, oui, mais avec leur vieux son qui est resté figé dans le temps. Ce n’est pas déplaisant puisque c’est toujours bon d’écouter du bon vieux rock avec des bons riffs de guitare. C’est que j’aurais aimé que leur son change un peu, que nous sachions que c’est justement un nouvel album du mythique groupe et non un album de chansons inédites du temps... Sinon l’album s’écoute bien. Le groupe reprend la même recette qui a fait leur succès pour le bonheur ou le malheur des autres.
Le premier extrait, Rock n’Roll Train, est très accrocheur et sur le site du groupe, vous pouvez trouver la version du vidéoclip en format Excel… Eh oui, vous avez bien lu. Ils ont fait une version du vidéo avec le tableur de la suite de bureautique de Microsoft. Je vous suggère d’aller y jeter un coup d’œil, c’est réussi. Pour en revenir à Black Ice, il est bon, mais il ne déroge pas de son chemin déjà tracé par les albums précédents. Allez donc vous acheter Back in Black à la place…
Pour mon deuxième album, je vous livre ma critique du dernier album de la formation anglaise Bloc Party, Intimacy. Je n’étais pas un grand fan et même parfois, je n’aimais pas vraiment leurs chansons. Après quelques écoutes, cet album m’a fait changer d’idée sur ce groupe anglais. L’album est rock, mais avec juste assez d’électro comme ils nous ont habitué. On aime ou l’on n’aime pas ce genre de musique-là.
Les sonorités sont diversifiées. Autant la guitare peut être agressive que les claviers empruntent leur son aux années 80. Des titres comme Trojan Horse, Mercury ou Talons m’ont tout de suite intéressé. Les chansons, sans se répéter, créent un tout cohérent et c’est ce que j’aime des albums. Aucune chanson ne se ressemble et pourtant elles sont toutes empreintes de la même ambiance tout au long de l’album.
Intimacy est un excellent album qui semble avoir malheureusement passé inaperçu. L’été dernier, ce groupe avait même mis en ligne l’album sur leur site où l’on pouvait le télécharger gratuitement. Je n’étais pas un fan assidu du groupe, mais je n’en ai pourtant jamais entendu parler. Maintenant qu’il est disponible sur les tablettes des disquaires nous n’en entendons pas plus parler… C’est pourquoi je vous en ai touché un mot et vous invite à vous le procurer !
À la prochaine!
Julien
je vous livre ma dernière critique...à ce jour! Je vous laisse la lire puisque vous êtes si impatients de me lire!
Programme double!
Ma critique cette semaine sera double. Elle concernera les indécis pour un album et les moins bien informés pour l’autre. Pas qu’il y a beaucoup de choses dans l’actualité musicale cette semaine, au contraire, je trouve cela morne comme le mois de novembre… Non, je vais vous parler d’albums qui sont sortis plus tôt, soit la fin d’octobre.
Pour mon premier album cette semaine, je vais vous faire part de mes impressions sur le dernier album d’AC/DC, Back in Black…euh je veux dire Black Ice. Je me suis trompé et ce n’est pas pour rien. AC/DC nous est revenu, oui, mais avec leur vieux son qui est resté figé dans le temps. Ce n’est pas déplaisant puisque c’est toujours bon d’écouter du bon vieux rock avec des bons riffs de guitare. C’est que j’aurais aimé que leur son change un peu, que nous sachions que c’est justement un nouvel album du mythique groupe et non un album de chansons inédites du temps... Sinon l’album s’écoute bien. Le groupe reprend la même recette qui a fait leur succès pour le bonheur ou le malheur des autres.
Le premier extrait, Rock n’Roll Train, est très accrocheur et sur le site du groupe, vous pouvez trouver la version du vidéoclip en format Excel… Eh oui, vous avez bien lu. Ils ont fait une version du vidéo avec le tableur de la suite de bureautique de Microsoft. Je vous suggère d’aller y jeter un coup d’œil, c’est réussi. Pour en revenir à Black Ice, il est bon, mais il ne déroge pas de son chemin déjà tracé par les albums précédents. Allez donc vous acheter Back in Black à la place…
Pour mon deuxième album, je vous livre ma critique du dernier album de la formation anglaise Bloc Party, Intimacy. Je n’étais pas un grand fan et même parfois, je n’aimais pas vraiment leurs chansons. Après quelques écoutes, cet album m’a fait changer d’idée sur ce groupe anglais. L’album est rock, mais avec juste assez d’électro comme ils nous ont habitué. On aime ou l’on n’aime pas ce genre de musique-là.
Les sonorités sont diversifiées. Autant la guitare peut être agressive que les claviers empruntent leur son aux années 80. Des titres comme Trojan Horse, Mercury ou Talons m’ont tout de suite intéressé. Les chansons, sans se répéter, créent un tout cohérent et c’est ce que j’aime des albums. Aucune chanson ne se ressemble et pourtant elles sont toutes empreintes de la même ambiance tout au long de l’album.
Intimacy est un excellent album qui semble avoir malheureusement passé inaperçu. L’été dernier, ce groupe avait même mis en ligne l’album sur leur site où l’on pouvait le télécharger gratuitement. Je n’étais pas un fan assidu du groupe, mais je n’en ai pourtant jamais entendu parler. Maintenant qu’il est disponible sur les tablettes des disquaires nous n’en entendons pas plus parler… C’est pourquoi je vous en ai touché un mot et vous invite à vous le procurer !
À la prochaine!
Julien
29 octobre 2008
Une autre critique musicale pour vous! Bande de chanceux!
Bonjour tout le monde!
je sais que je ne vous écris pas beaucoup sur moi, mais c'est que ces temps-ci, je suis très occupé. Je travaille, je fais des lectures, des travaux, je dors! Je n'arrête pas une seconde!
De plus, étant donné que je commence à être vraiment tanné de MacPek, je me cherche une autre job. J'ai rempli le questionnaire de Futureshop l'autre soir et le lendemain j'avais un appel me demandant mes disponibilité pour une entrevue! En espérant que j'aille le poste!
Vous l'attendiez tous avec impatience, voici ma critique musicale sur l'album Le volume du vent de Karkwa.
Formé en 1998 à l’occasion du concours Cégeps en spectacle, ce quintet montréalais atteint la finale des Francouvertes en 2001. Impressionnant pour un groupe encore jeune. Il sort par la suite les albums Le pensionnat des établis en 2003, Les tremblements s’immobilisent en 2005 et le 1er avril 2008, l’album Le volume du vent.
Hein? Un album datant d’avril passé considéré comme une nouveauté? Eh bien, ce n’est pas tant l’album que le groupe qui fait la une ces derniers temps. Lors de l’Autre gala de l’ADISQ, Karkwa a raflé les deux prix où il était en nomination c’est-à-dire «album de l’année» et «vidéoclip de l’année» pour la pièce Échapper au sort. Pour le Gala dans sa version télévisée, Karkwa est en nomination pour l’«auteur ou compositeur de l’année» et pour le «groupe de l’année». Souhaitons leur bonne chance! Rappelons qu’ils avaient gagné le Félix de l’«auteur ou compositeur de l’année» et du «réalisateur de l’année» il y a deux ans. Plus récemment, la SOCAN a décerné le troisième prix annuel de la chanson ÉCHO à Karkwa pour leur chanson Oublie pas.
La première chanson sur un disque est cruciale, c’est bien connu. C’est sûrement pour cela que le groupe commence par la chanson Le compteur qui est bien punché et qui résume, à mon humble avis, l’esprit du disque. Avec cette chanson, le groupe s’impose déjà comme étant un grand groupe. Une chanson avec une bonne mélodie, de belles voix et des arrangements superbes comme c’est le cas sur le reste de l’album, on se rend compte que nous avons entre les mains un disque très inspiré et très inspirant. Mes autres chansons coup de cœur sont Oublie pas, Échapper au sort et La Façade.
En écoutant le reste du disque, on réalise que le son, l’ambiance est la même du début à la fin, sans que ce soit redondant. Ce qui est très bien puisque cela crée un album qui se «tient» bien ensemble. Cette ambiance tient réellement du titre Le volume du vent. Le son est très aérien. Les voix sont vaporeuses et les instruments presque «volatiles». Un bon exemple, écoutez la pièce Le Frimas. Vous comprendrez ce que je veux dire.
Depuis quelques années, comme une tendance, le piano et ses équivalents électroniques reviennent à la mode et le Québec n’y échappe pas! Même les Vulgaires Machins ont intégré cet instrument dans leur dernier album, mais ceci est une autre histoire! Le piano est à l’honneur dans l’album de Karkwa, sûrement puisque le compositeur de la plupart des chansons est le pianiste. Même si le piano est à l’honneur, les autres instruments ne sont pas laissés de côté pour autant. Ils agissent plutôt pour créer quelque chose de plus grand que leur simple addition. Même la voix, souvent discrète, est très réussie. Les chansons ne sont d’ailleurs ni trop longues, ni trop courtes, on ne s’éternise pas. Bien sûr, il y a des bouts instrumentaux, mais ils sont toujours justifiés et ont leur place sur l’album.
Mes premiers contacts avec ce groupe n’avaient pas été très concluants, mais après les avoir vu au spectacle de clôture des dernières Francofolies (en passant le spectacle était hallucinant, mais Malajube était meilleur) et être tombé sous le charme de Oublie pas grâce à la chanson gratuite de la semaine sur iTunes, Karkwa commençait à m’intriguer sérieusement. D’ailleurs en spectacle, ils sont très impressionnants car se sont tous de très bons musiciens et la foule était très réceptive. Avec leurs nouveaux Félix et ceux qui vont probablement gagner, il ne m’en fallait pas plus pour acheter l’album et être abasourdi par ce groupe montréalais fort prometteur, car selon moi, le meilleur reste encore à venir…
À la prochaine!
Julien
je sais que je ne vous écris pas beaucoup sur moi, mais c'est que ces temps-ci, je suis très occupé. Je travaille, je fais des lectures, des travaux, je dors! Je n'arrête pas une seconde!
De plus, étant donné que je commence à être vraiment tanné de MacPek, je me cherche une autre job. J'ai rempli le questionnaire de Futureshop l'autre soir et le lendemain j'avais un appel me demandant mes disponibilité pour une entrevue! En espérant que j'aille le poste!
Vous l'attendiez tous avec impatience, voici ma critique musicale sur l'album Le volume du vent de Karkwa.
Karkwa a le vent dans les voiles!
Formé en 1998 à l’occasion du concours Cégeps en spectacle, ce quintet montréalais atteint la finale des Francouvertes en 2001. Impressionnant pour un groupe encore jeune. Il sort par la suite les albums Le pensionnat des établis en 2003, Les tremblements s’immobilisent en 2005 et le 1er avril 2008, l’album Le volume du vent.
Hein? Un album datant d’avril passé considéré comme une nouveauté? Eh bien, ce n’est pas tant l’album que le groupe qui fait la une ces derniers temps. Lors de l’Autre gala de l’ADISQ, Karkwa a raflé les deux prix où il était en nomination c’est-à-dire «album de l’année» et «vidéoclip de l’année» pour la pièce Échapper au sort. Pour le Gala dans sa version télévisée, Karkwa est en nomination pour l’«auteur ou compositeur de l’année» et pour le «groupe de l’année». Souhaitons leur bonne chance! Rappelons qu’ils avaient gagné le Félix de l’«auteur ou compositeur de l’année» et du «réalisateur de l’année» il y a deux ans. Plus récemment, la SOCAN a décerné le troisième prix annuel de la chanson ÉCHO à Karkwa pour leur chanson Oublie pas.
La première chanson sur un disque est cruciale, c’est bien connu. C’est sûrement pour cela que le groupe commence par la chanson Le compteur qui est bien punché et qui résume, à mon humble avis, l’esprit du disque. Avec cette chanson, le groupe s’impose déjà comme étant un grand groupe. Une chanson avec une bonne mélodie, de belles voix et des arrangements superbes comme c’est le cas sur le reste de l’album, on se rend compte que nous avons entre les mains un disque très inspiré et très inspirant. Mes autres chansons coup de cœur sont Oublie pas, Échapper au sort et La Façade.
En écoutant le reste du disque, on réalise que le son, l’ambiance est la même du début à la fin, sans que ce soit redondant. Ce qui est très bien puisque cela crée un album qui se «tient» bien ensemble. Cette ambiance tient réellement du titre Le volume du vent. Le son est très aérien. Les voix sont vaporeuses et les instruments presque «volatiles». Un bon exemple, écoutez la pièce Le Frimas. Vous comprendrez ce que je veux dire.
Depuis quelques années, comme une tendance, le piano et ses équivalents électroniques reviennent à la mode et le Québec n’y échappe pas! Même les Vulgaires Machins ont intégré cet instrument dans leur dernier album, mais ceci est une autre histoire! Le piano est à l’honneur dans l’album de Karkwa, sûrement puisque le compositeur de la plupart des chansons est le pianiste. Même si le piano est à l’honneur, les autres instruments ne sont pas laissés de côté pour autant. Ils agissent plutôt pour créer quelque chose de plus grand que leur simple addition. Même la voix, souvent discrète, est très réussie. Les chansons ne sont d’ailleurs ni trop longues, ni trop courtes, on ne s’éternise pas. Bien sûr, il y a des bouts instrumentaux, mais ils sont toujours justifiés et ont leur place sur l’album.
Mes premiers contacts avec ce groupe n’avaient pas été très concluants, mais après les avoir vu au spectacle de clôture des dernières Francofolies (en passant le spectacle était hallucinant, mais Malajube était meilleur) et être tombé sous le charme de Oublie pas grâce à la chanson gratuite de la semaine sur iTunes, Karkwa commençait à m’intriguer sérieusement. D’ailleurs en spectacle, ils sont très impressionnants car se sont tous de très bons musiciens et la foule était très réceptive. Avec leurs nouveaux Félix et ceux qui vont probablement gagner, il ne m’en fallait pas plus pour acheter l’album et être abasourdi par ce groupe montréalais fort prometteur, car selon moi, le meilleur reste encore à venir…
À la prochaine!
Julien
15 octobre 2008
Et de trois!
Bonjour tout le monde!
je le savais que vous vous demandiez quand elle arriverait... et la voici! Ma troisième critique : Perfect Symmetry de Keane.
Lorsque Keane a sorti son premier album, Hopes and Fears, c’était durant le gros hype de l’album A Rush of Blood to the Head de Coldplay qui a fait revivre, en quelques sortes, le Brit Pop. Par la suite, le trio anglais a sorti Under the Iron Sea, album quelque peu différent du premier, car plus électronique. Le groupe s’est surtout démarqué en n’utilisant aucune guitare et en jouant sur les sons que l’on peut produire avec des pianos, des claviers et des synthétiseurs.
Cependant, pour leur troisième album, ils ont décidé d’intégrer la guitare dans leurs chansons, sans qu’elle ne prenne toute la place, le piano étant leur marque de commerce. Ils ont aussi choisi de faire évoluer leur son vers une sonorité plus pop et avec davantage de synthétiseurs sur Perfect Symmetry.
L’album commence fort avec Spiralling, une chanson qui contraste avec tout ce qu’ils ont fait par le passé et qui affirme leur nouvelle orientation musicale. Les synthétiseurs sont du refrain font pensés à une vieille chanson pop des années ’80. Très bonne chanson rythmée, si vous aimez, je vous conseille d’aller vous procurer l’album. Évidemment, des chansons comme Perfect Symmetry et Love is the End comportent des éléments du nouveau son tout en gardant la formule gagnante des premiers albums.
L’écoute de l’album se fait très bien. Les chansons sont différentes les unes des autres, contrairement à ce qu’il se fait sur certains albums de d’autres groupes, mais gardent une certaine homogénéité qui permet de garder le fil. Certains vont sûrement reprocher la courte durée de l’album, 11 pistes et 51 minutes, mais je préfère qu’un album soit court et bien monté, qu’un album où l’on a l’impression d’étirer la sauce sur 17 chansons.
Même s’ils ont un nouveau son qui détonne des albums précédents, la voix impressionnante du chanteur Tom Chaplin est toujours au rendez-vous. À mon avis, c’est une des plus belles voix masculine des dernières années. Il est capable d’aller chercher des notes assez hautes, tout en gardant une voix cristalline. L’écouter, c’est comprendre.
Merci aussi au talent de Tim Rice-Oxley, compositeur du groupe, pour nous avoir concocté un autre album d’une qualité indiscutable. Les arrangements musicaux s’harmonisant très bien à la voix de Chaplin. Sa manière de composer et de jouer du piano me surprendra toujours. Parfois, nous nous demandons même si c’est réellement un clavier qui peut jouer ça!
Perfect Symmetry est un album Brit pop axé sur le piano et toutes ses possibilités. Des chansons accrocheuses, bien chantées, bien composées et bien jouées par un trio de gars talentueux d’une petite ville du East Sussex. Si vous aimiez déjà ce groupe, ne vous gênez pas d’acheter l’album. Si vous ne connaissez pas encore, mais que vous aimez de la bonne musique tantôt rythmée, tantôt douce, principalement axée sur le piano et sur une belle voix, je vous recommande fortement cet album.
J'espère que vous avez aimé... Si jamais vous avez des suggestions de critique musicale de disque récent, pas plus de 2 semaines, faites-moi signe! J'aimerais bien diversifier mes critiques le plus possible.
Julien, qui vous aime de sa résidence à Québec
je le savais que vous vous demandiez quand elle arriverait... et la voici! Ma troisième critique : Perfect Symmetry de Keane.
Un changement réussi
Lorsque Keane a sorti son premier album, Hopes and Fears, c’était durant le gros hype de l’album A Rush of Blood to the Head de Coldplay qui a fait revivre, en quelques sortes, le Brit Pop. Par la suite, le trio anglais a sorti Under the Iron Sea, album quelque peu différent du premier, car plus électronique. Le groupe s’est surtout démarqué en n’utilisant aucune guitare et en jouant sur les sons que l’on peut produire avec des pianos, des claviers et des synthétiseurs.
Cependant, pour leur troisième album, ils ont décidé d’intégrer la guitare dans leurs chansons, sans qu’elle ne prenne toute la place, le piano étant leur marque de commerce. Ils ont aussi choisi de faire évoluer leur son vers une sonorité plus pop et avec davantage de synthétiseurs sur Perfect Symmetry.
L’album commence fort avec Spiralling, une chanson qui contraste avec tout ce qu’ils ont fait par le passé et qui affirme leur nouvelle orientation musicale. Les synthétiseurs sont du refrain font pensés à une vieille chanson pop des années ’80. Très bonne chanson rythmée, si vous aimez, je vous conseille d’aller vous procurer l’album. Évidemment, des chansons comme Perfect Symmetry et Love is the End comportent des éléments du nouveau son tout en gardant la formule gagnante des premiers albums.
L’écoute de l’album se fait très bien. Les chansons sont différentes les unes des autres, contrairement à ce qu’il se fait sur certains albums de d’autres groupes, mais gardent une certaine homogénéité qui permet de garder le fil. Certains vont sûrement reprocher la courte durée de l’album, 11 pistes et 51 minutes, mais je préfère qu’un album soit court et bien monté, qu’un album où l’on a l’impression d’étirer la sauce sur 17 chansons.
Même s’ils ont un nouveau son qui détonne des albums précédents, la voix impressionnante du chanteur Tom Chaplin est toujours au rendez-vous. À mon avis, c’est une des plus belles voix masculine des dernières années. Il est capable d’aller chercher des notes assez hautes, tout en gardant une voix cristalline. L’écouter, c’est comprendre.
Merci aussi au talent de Tim Rice-Oxley, compositeur du groupe, pour nous avoir concocté un autre album d’une qualité indiscutable. Les arrangements musicaux s’harmonisant très bien à la voix de Chaplin. Sa manière de composer et de jouer du piano me surprendra toujours. Parfois, nous nous demandons même si c’est réellement un clavier qui peut jouer ça!
Perfect Symmetry est un album Brit pop axé sur le piano et toutes ses possibilités. Des chansons accrocheuses, bien chantées, bien composées et bien jouées par un trio de gars talentueux d’une petite ville du East Sussex. Si vous aimiez déjà ce groupe, ne vous gênez pas d’acheter l’album. Si vous ne connaissez pas encore, mais que vous aimez de la bonne musique tantôt rythmée, tantôt douce, principalement axée sur le piano et sur une belle voix, je vous recommande fortement cet album.
J'espère que vous avez aimé... Si jamais vous avez des suggestions de critique musicale de disque récent, pas plus de 2 semaines, faites-moi signe! J'aimerais bien diversifier mes critiques le plus possible.
Julien, qui vous aime de sa résidence à Québec
06 octobre 2008
Des petites nouvelles de moi!
Bonjour tout le monde!
Je m'ennuyais de vous, donc je pense que vous vous ennuyiez de moi... Suis-je dans le mille?
Dans mon coin du Québec, tout va bien! La «routine» si on peut dire, s'est installée... Lavage un jour, épicerie un autre, bière un soir, travaux l'autre soir... J'ai pogné le beat!
Mes parents sont venu me voir samedi dernier et j'étais très content! Ça a fait que j'ai encore plus hâte de revenir à Terrebonne pendant la fin de semaine de l'action de grâce pour revoir tout mon monde! D'ailleurs, pour ceux que ça intéresse, je vais être au St-Patrick samedi soir!
Pour l'instant, c'est tout! Je devrai mettre une prochaine critique bientôt sur le nouvel album de Mes Aïeux : La ligne orange! À moins que je parle du nouvel album de Rise Against... on verra ça!
Allez, à plus!
Julien
Je m'ennuyais de vous, donc je pense que vous vous ennuyiez de moi... Suis-je dans le mille?
Dans mon coin du Québec, tout va bien! La «routine» si on peut dire, s'est installée... Lavage un jour, épicerie un autre, bière un soir, travaux l'autre soir... J'ai pogné le beat!
Mes parents sont venu me voir samedi dernier et j'étais très content! Ça a fait que j'ai encore plus hâte de revenir à Terrebonne pendant la fin de semaine de l'action de grâce pour revoir tout mon monde! D'ailleurs, pour ceux que ça intéresse, je vais être au St-Patrick samedi soir!
Pour l'instant, c'est tout! Je devrai mettre une prochaine critique bientôt sur le nouvel album de Mes Aïeux : La ligne orange! À moins que je parle du nouvel album de Rise Against... on verra ça!
Allez, à plus!
Julien
01 octobre 2008
Les Cowboys décevants
Les Cowboys Fringants ont connu le succès à leur quatrième album, Break Syndical. Cet album les avait propulsé hors de l’anonymat de Repentigny. Ensuite est venu La Grand’ Messe, album encore plus engagé. Leur dernier opus, L’Expédition, très attendu par la critique et surtout des fans, est maintenant disponible chez tous les bons disquaires.
Après la sortie de La Grand’ Messe, certains ont peut-être trouvé que nos cowboys étaient trop engagé ou plutôt s’engageaient dans trop de cause. Je peux comprendre que c’est bien d’être actif socialement, de soutenir des causes, mais rendu à un certain point, trop c’est trop. Donc, dans cet album, ils ont donc délaissé les différentes causes abordées dans leur dernier album pour porter un discours beaucoup plus social. Cela rend les textes moins lourds, mais les cowboys ne sont plus aussi fringants que dans leur jeune temps. L’âge? Peut-être.
Pour les connaisseurs, le batteur ne fait plus partie de ce groupe. Pour des raisons personnelles, il a décidé de quitter le cheval (ce sont des cowboys après tout!) et les autres membres ont choisi de ne pas le remplacer pour laisser le groupe intact. Malheureusement, le son en est affecté. La batterie est moins présente pour laisser toute la place à la guitare de Pauzé et aux multiples instruments de Marie-Annick. Aussi, Karl chante avec moins de conviction et de manière plus sage. Par bout, on croirait qu’il ne croit pas ce qu’il chante, un peu comme s’il s’en foutait. C’est dommage, pas qu’il est un chanteur à tout cassé, mais je m’ennuie de la période de l’album vert.
Tous ces éléments font que je n’ai accroché sur aucune chanson, à part peut-être La Catherine puisqu’elle me rappelle leur belle époque. Dommage pour eux. C’est sûr que si vous êtes un fan irréductible, vous risquez d’aimer. Pour moi, «la mayonnaise prend pas» comme me disait un de mes anciens professeurs.
Après la sortie de La Grand’ Messe, certains ont peut-être trouvé que nos cowboys étaient trop engagé ou plutôt s’engageaient dans trop de cause. Je peux comprendre que c’est bien d’être actif socialement, de soutenir des causes, mais rendu à un certain point, trop c’est trop. Donc, dans cet album, ils ont donc délaissé les différentes causes abordées dans leur dernier album pour porter un discours beaucoup plus social. Cela rend les textes moins lourds, mais les cowboys ne sont plus aussi fringants que dans leur jeune temps. L’âge? Peut-être.
Pour les connaisseurs, le batteur ne fait plus partie de ce groupe. Pour des raisons personnelles, il a décidé de quitter le cheval (ce sont des cowboys après tout!) et les autres membres ont choisi de ne pas le remplacer pour laisser le groupe intact. Malheureusement, le son en est affecté. La batterie est moins présente pour laisser toute la place à la guitare de Pauzé et aux multiples instruments de Marie-Annick. Aussi, Karl chante avec moins de conviction et de manière plus sage. Par bout, on croirait qu’il ne croit pas ce qu’il chante, un peu comme s’il s’en foutait. C’est dommage, pas qu’il est un chanteur à tout cassé, mais je m’ennuie de la période de l’album vert.
Tous ces éléments font que je n’ai accroché sur aucune chanson, à part peut-être La Catherine puisqu’elle me rappelle leur belle époque. Dommage pour eux. C’est sûr que si vous êtes un fan irréductible, vous risquez d’aimer. Pour moi, «la mayonnaise prend pas» comme me disait un de mes anciens professeurs.
21 septembre 2008
Critique!
Je ne vous avait pas dit que j'étais dans le journal du bac? Eh bien, je viens de vous l'dire! Comme premier article, voici ma critique du nouvel album de Metallica : Death Magnetic!
Un brillant retourBonjour, avant de commencer ma critique musicale, je vais me présenter. Je suis Julien Marotte et j’en suis à ma première année au baccalauréat en communication publique. Je prévois me diriger vers le domaine de la publicité, mais l’univers du journalisme m’a toujours intéressé. J’ai été très impliqué dans le journal étudiant durant mon DEC et je compte bien m’impliquer aussi à l’université. Voici donc pour cette semaine, ma critique du nouvel album tant attendu de Metallica, Death Magnetic.
Pour commencer, Metallica nous avait habitué à de bonnes chansons métal avec des mélodies et des solos de guitares démentiels. Puis est arrivé l’album St.Anger que plusieurs irréductibles fans ont boudé et avec raison. On peut comprendre qu’ils étaient en colère, mais de la à nous régurgiter cela sur un disque de cette façon, on passera. Et d’après moi, ils ont compris que les fans n’avaient pas aimé et ils nous ont concocté l’album Death Magnetic. Première rumeur : Metallica va sortir un nouvel album. Tout le monde a déjà hâte. Deuxième rumeur : Sur le nouvel album, il y aura des solos et le bon vieux son auxquels ils nous avaient habitué. Tout le monde s’emballe. Eh bien, depuis le 12 septembre dernier, les fans peuvent se régaler les tympans!
Première chose : cet album est une gifle en plein figure. Une batterie rythmée, une basse pesante, des guitares survoltées et l’éternelle voix du chanteur James Hetfield remplissent toute la durée de l’album. Les solos sont à la hauteur que ce qu’on a connu par les albums précédents. Fait intéressant à noter : il n’y a aucune piste qui dure moins de cinq minutes! C’est pour dire à quel point les gars de Metallica ont accordé de l’importance à la musique. C’est aussi le premier album du groupe où chaque membre a contribué à chaque titre. Les chansons, dans l’ensemble, sont bonnes (aucune ne m’apparaît moins bonne qu’une autre), cependant si je peux faire un reproche, ce serait au niveau de la sonorité de l’album qui est trop homogène. La sonorité des guitares, ce qu’on entend le plus, change très peu du début à la fin de l’album. Certes les solos sont bons, je n’ai rien à reprocher là-dessus, mais reste que nous avons l’impression que l’album ne fait qu’une longue chanson.
En conclusion, le nouvel album de Metallica est un bon album. Les fans du groupe vont trouver leur compte et les néophytes du groupe (y en a-t-il vraiment?) découvriront un groupe dans sa pleine maturité qui allie du nouveau matériel et leur «ancien» son qui a fait leur renommée.
Julien
20 septembre 2008
Tout est question de point de vue disait l'autre...
Bonjour chers lecteurs assidus!
En communication, on nous apprend que l'angle que l'on prend pour aborder un sujet (exemple en journalisme) est primordial. De même que nous devons aborder un sujet lors d'un travail de recherche avec, au minimum, trois angles différents question de bien cerner le-dit sujet.
Eh bien, je veux vous parler du panorama qui s'offre à mon ami et moi chaque jour. C'est que, je suis d'un côté des résidences et lui est de l'autre. Ce qui fait que nous avons deux points de vue différents.
Voici le mien le jour et la nuit. (Pas obligé de vous dire le quel est lequel, je crois que vous êtes capable de distinguer le jour et la nuit, quand même!) Pour la photo de nuit, je sais que ce n'est pas très visible, mais dites-vous que la vue n'est pas fameuse. Ou si vous voulez voir vraiment à quel point la vue est pas écoeurante, venez me voir! Cela me fera un plaisir de vous recevoir dans mon antre!
Et voici celui de mon ami, le jour et la nuit. (Ce qui ressemble à une grosse église est en fait mon pavillon!) Bon je sais, la photo de nuit est pas très visible encore ici... Excusez-moi, il fait NUIT quand je prends la photo! Non, non, je vous pardonne.
Habituellement, on voit mieux les lumières du reste de la ville avec l'ombre de l'église...c'est très beau. Comme je l'ai déjà dit : venez me voir!
On fait un petit sondage maison. J'aimerais savoir, selon vous, lequel de nous deux a le plus beau panorama de sa résidence.
Julien
En communication, on nous apprend que l'angle que l'on prend pour aborder un sujet (exemple en journalisme) est primordial. De même que nous devons aborder un sujet lors d'un travail de recherche avec, au minimum, trois angles différents question de bien cerner le-dit sujet.
Eh bien, je veux vous parler du panorama qui s'offre à mon ami et moi chaque jour. C'est que, je suis d'un côté des résidences et lui est de l'autre. Ce qui fait que nous avons deux points de vue différents.
Voici le mien le jour et la nuit. (Pas obligé de vous dire le quel est lequel, je crois que vous êtes capable de distinguer le jour et la nuit, quand même!) Pour la photo de nuit, je sais que ce n'est pas très visible, mais dites-vous que la vue n'est pas fameuse. Ou si vous voulez voir vraiment à quel point la vue est pas écoeurante, venez me voir! Cela me fera un plaisir de vous recevoir dans mon antre!
Et voici celui de mon ami, le jour et la nuit. (Ce qui ressemble à une grosse église est en fait mon pavillon!) Bon je sais, la photo de nuit est pas très visible encore ici... Excusez-moi, il fait NUIT quand je prends la photo! Non, non, je vous pardonne.
Habituellement, on voit mieux les lumières du reste de la ville avec l'ombre de l'église...c'est très beau. Comme je l'ai déjà dit : venez me voir!
On fait un petit sondage maison. J'aimerais savoir, selon vous, lequel de nous deux a le plus beau panorama de sa résidence.
Julien
04 septembre 2008
Et c'est parti!
Bonjour tout le monde!
Je me porte bien et ma semaine s'est super bien passée! Il me reste mes livres à m'acheter et à partir de mardi prochain ma session d'automne 2008 à l'Université Laval au baccalauréat en communication publique est officiellement commencée! (Merci, mais pas obliger d'applaudir devant votre ordinateur, vous avez l'air bizarre....)
J'ai même reçu, en allant payer pour ma dernière sortie d'initiation, une espèce de sangle pour mettre ses clés à l'effigie du programme, mais j'avais déjà acheté celle à l'effigie de l'université! Aussi j'ai reçu ce magnifique chandail!
Je sais que je suis beau bonhomme, pas obligé de m'écrire plein de messages!
Sur ce je vous souhaite de vous amuser tout autant que je m'amuse!
Julien
Je me porte bien et ma semaine s'est super bien passée! Il me reste mes livres à m'acheter et à partir de mardi prochain ma session d'automne 2008 à l'Université Laval au baccalauréat en communication publique est officiellement commencée! (Merci, mais pas obliger d'applaudir devant votre ordinateur, vous avez l'air bizarre....)
J'ai même reçu, en allant payer pour ma dernière sortie d'initiation, une espèce de sangle pour mettre ses clés à l'effigie du programme, mais j'avais déjà acheté celle à l'effigie de l'université! Aussi j'ai reçu ce magnifique chandail!
Je sais que je suis beau bonhomme, pas obligé de m'écrire plein de messages!
Sur ce je vous souhaite de vous amuser tout autant que je m'amuse!
Julien
01 septembre 2008
Initiation
Lundi, le 1er septembre 2008
6h00 AM : Je suis déjà réveillé à cause du soleil et de mon excitation/stress pour mon initiation qui va se déroulé dans environ une demie heure. Une chance que j'avais pris ma douche la veille, ça fait déja une chose de faite pour ce matin. Donc je me lève, m'habille, sort mon t-shirt blanc, un feutre noir et m'installe sur mon micro-ondes. L'artiste/ti comique écrit ceci:
Bon d'accord, j'ai absolument rien pour l'initiation, mais je vais y aller quand même pour voir, pour avoir du fun. Du fun, j'en ai eu. Même si les initiateurs pouvaient avoir l'air bête et con, c'était un jeu. C'est ça une initiation : tu fais baver les nouveaux pour te venger de ce que les vieux t'ont fait quand tu étais nouveau. Je crois même que j'en ai bavé un peu plus que les autres. Mais comme j'ai dit : «Je suis peut-être pas déguisé, mais je suis willing!» Voici de quoi j'avais l'air à mon retour à ma chambre (ben à vrai dire, la chambre à JP!)
Ne vous inquiétez pas! Maintenant on me reconnait comme le gars willing au chandail blanc! Je pense que je vais avoir marquer les annales du programme!
6h00 AM : Je suis déjà réveillé à cause du soleil et de mon excitation/stress pour mon initiation qui va se déroulé dans environ une demie heure. Une chance que j'avais pris ma douche la veille, ça fait déja une chose de faite pour ce matin. Donc je me lève, m'habille, sort mon t-shirt blanc, un feutre noir et m'installe sur mon micro-ondes. L'artiste/ti comique écrit ceci:
Bon d'accord, j'ai absolument rien pour l'initiation, mais je vais y aller quand même pour voir, pour avoir du fun. Du fun, j'en ai eu. Même si les initiateurs pouvaient avoir l'air bête et con, c'était un jeu. C'est ça une initiation : tu fais baver les nouveaux pour te venger de ce que les vieux t'ont fait quand tu étais nouveau. Je crois même que j'en ai bavé un peu plus que les autres. Mais comme j'ai dit : «Je suis peut-être pas déguisé, mais je suis willing!» Voici de quoi j'avais l'air à mon retour à ma chambre (ben à vrai dire, la chambre à JP!)
Ne vous inquiétez pas! Maintenant on me reconnait comme le gars willing au chandail blanc! Je pense que je vais avoir marquer les annales du programme!
Les Aventures de Julien à Québec
Samedi, le 30 août 2008
Ouais bien, c’est commencé. Mon périple de 2 ans (m’enfin s’ils me créditent suffisamment de cours) a commencé par une belle journée ensoleillée et un voyage sans anicroches le long de la 40 et des siffleux ayant violemment embrassé l’asphalte.
Arrivé à Québec, les papillons qui s’étaient cachés dans mon estomac se sont réveillés et l’excitation était à son comble : j’étais enfin arrivé à l’Université Laval et j’allais prendre possession de mon garde-robe cher payé et meublé, bref ma résidence. Voici ce que j’ai vu lorsque j’ai ouvert la porte.
J’étais sidéré. OUACH! Dire que je paye pour ça. Mais bon, il va falloir que je vive avec et de toute façon c’est sûrement pensé pour que l’étudiant passe le plus de temps à l’extérieur de sa chambre. Mais admirez mon petit chez moi une fois que j’ai pris mes aises.
Une fois installé, le samedi soir, je vous écris. Cependant, vous me lisez en différé puisque mon Internet devrait être en fonction d’ici minimum lundi étant donné que nous sommes la fin de semaine et que les bureaux qui s’occupent de ça sont fermés la fin de semaine. Fonctionnaires. Donc, vous avez de mes nouvelles à retardement et je risque d’ajouter d’autres propos d’ici l’arrivé de mon Internet. J’espère que ça ne va pas prendre beaucoup de temps, parce que je n’ai pas plus la télé dans ma chambre! Une chance que j’ai apporté mes DVDs et des livres!
Bon je crois que cela suffit pour l’instant, allez à plus!
Ouais bien, c’est commencé. Mon périple de 2 ans (m’enfin s’ils me créditent suffisamment de cours) a commencé par une belle journée ensoleillée et un voyage sans anicroches le long de la 40 et des siffleux ayant violemment embrassé l’asphalte.
Arrivé à Québec, les papillons qui s’étaient cachés dans mon estomac se sont réveillés et l’excitation était à son comble : j’étais enfin arrivé à l’Université Laval et j’allais prendre possession de mon garde-robe cher payé et meublé, bref ma résidence. Voici ce que j’ai vu lorsque j’ai ouvert la porte.
J’étais sidéré. OUACH! Dire que je paye pour ça. Mais bon, il va falloir que je vive avec et de toute façon c’est sûrement pensé pour que l’étudiant passe le plus de temps à l’extérieur de sa chambre. Mais admirez mon petit chez moi une fois que j’ai pris mes aises.
Une fois installé, le samedi soir, je vous écris. Cependant, vous me lisez en différé puisque mon Internet devrait être en fonction d’ici minimum lundi étant donné que nous sommes la fin de semaine et que les bureaux qui s’occupent de ça sont fermés la fin de semaine. Fonctionnaires. Donc, vous avez de mes nouvelles à retardement et je risque d’ajouter d’autres propos d’ici l’arrivé de mon Internet. J’espère que ça ne va pas prendre beaucoup de temps, parce que je n’ai pas plus la télé dans ma chambre! Une chance que j’ai apporté mes DVDs et des livres!
Bon je crois que cela suffit pour l’instant, allez à plus!
27 août 2008
Cours de Statistiques
Bonjour chers lecteurs
juste un petit billet pour vous dire qu'en réussissant mon examen avec une note de 87% et une note globale de 91%, c'est officiel : je vous quitte pour Québec!
Je sais que vous êtes tristes, mais inquiètez vous pas, je vous écrirai le plus souvent possible.
D'ici mon prochain billet, je continue de me préparer pour Québec, le déménagement, l'initiation et je vous écrit!
Julien
juste un petit billet pour vous dire qu'en réussissant mon examen avec une note de 87% et une note globale de 91%, c'est officiel : je vous quitte pour Québec!
Je sais que vous êtes tristes, mais inquiètez vous pas, je vous écrirai le plus souvent possible.
D'ici mon prochain billet, je continue de me préparer pour Québec, le déménagement, l'initiation et je vous écrit!
Julien
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